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Les kosmalski pecheurs
30 mars 2022

Belle fin de saison au brochet

 Les fêtes de fin d’année en famille se sont très bien passées !

21 12 23 Terrasson (3)

Dès ma première demie-journée chaumée, je retourne dans les marais du Calaisis.

Je monte un leurre souple pour le faire glisser sous le grand saule où j’ai pu voir chasser le gros brochet. Je tente les abords du pont. Ses étranglements sont de bons postes d’a fut qu’affectionnent notre grand carnassier. Rien aux immédiats de la grosse buse. Je lance le long de la bordure avant accéder au pré. Touche non loin de l’étranglement. La défense m’annonce un poisson entre cinquante et soixante centimètres. Trop génial, un brochet dans les premières minutes ! Je l’amène près du bord pour faire les premières images.

22 01 03 Bouzat (1)

Je m’empresse ensuite de le relâcher. …

J’avance de quelques mètres à chaque tentative, pour avoir une chance supplémentaire de passer sur un poisson actif. Je peigne la zone jusqu'au grand arbre surplombant. Je lance alors en rasant l’eau de façon à ce que mon leurre souple y glisse jusque sous les branches baignantes. L’index, laissé à proximité de la bobine lors du lancer, doit alors s’y rabattre une fois les premières branches atteintes afin de ne pas s’y accrocher. C’est un exercice de précision qui demande de longs entraînements. Mon gros leurre souple se prête aisément à l’exercice. Il n’atteindra qu’une fois les branches. L’hameçon simple unique me permettra de décrocher en faisant doucement basculer la tête plombée. Pas de touche.

J’avance de deux pas à chaque lancer. Une fois l’arbre dépassé, je tente deux autres lancers pour croiser mes chances mais, soit le gros bec est apathique, soit il s’est déplacé. …

Rien de plus sur tout le linéaire. Les foulques quitterons le pré pour regagner l’abri des grandes herbes au bord de l’eau.

Je change de bras de rivière. II y a de moins en moins de fond, l’eau est claire. Je changerais de leurre pour une cuiller non plombée. Malheureusement, j’ai cette fois le vent de face et je parviens difficilement à la la lancer. Je fixe un poisson nageur articulé flottant. Lui aussi pêchera efficacement dans si peu de fond. Rien sur la première partie du parcours. J’arrive au niveau de l’ancien banc de nénuphar. C’est un bon coin. Touche, c’est petit et nerveux. Je peux rapidement ramener une petite perche. Je la laisse dans les herbes du bord pour la mettre dans ma bourriche numérique. Elle viendra y mettre de la couleur. …

22 01 03 Bouzat (3)Déjà deux poissons dans les deux premières heures. Je suis ravi !

Je continue ma pêche sans avoir de touche au niveau du l’aulne couché. Il forme pourtant un très bel embâcle. …

Rien non plus sous le très grand saule. Je n’aurai pas encore eu de touche sous ce magnifique poste. Le métré, relâché il y a quelques années doit y roder et faire le ménage. …

Nouvelle petite pluie. Je rabat ma capuche pour protéger mon bonnet de laine.

Touche le long des aulnes. Je ferre dans le vide. Flûte ! Une « tape courte » ! Je relance mais il ne bougera pas. Je change de leurre, sans plus de succès. …

je termine la boucle et vais rejoindre la voiture pour aller vers un autre parcours. Cette marche, plus rapide, me fait du bien. Je peux me réchauffer des sept petits degrés ressentis !

Ce parcours est plus teinté. Je change de couleur pour un bleu. Le brochet a d’incroyables détecteurs sensoriels sur tout le corps. Il peut analyser son entourage et détecter un proie potentielle. Dans ce cas là, la couleur importe peu. J’en accroche alors une qui m’est moins importante. Rien sous le grand cerisier. Je tente un long lancer qui me permettrait de passer le long de la palplanche. Une rafale de vent vient ruiner ma tentative. Mon grand poisson nageur pend lamentablement dans une des branches en surplomb. Cette fois je ne parviens pas à décrocher. Ma fine tresse de douze centièmes cédera. Il me reste encore une heure. Je me place à la hauteur du méfait et tente d’utiliser le décroche leurre. Ce vulgaire filet à pomme de terre, lesté de quelques plombs à carpe de permettra une fois de plus de récupérer cette originale décoration de noël. …

J’en profite pour m’asseoir sur mon sac afin de ne pas me mouiller les fesses et refais ma ligne. J’élimine les premiers mètres qui sont les plus sollicités.

Après déjà quelques heures de prospection, cette petite pause me fait du bien.

Je relance et cette fois, cela part au bon endroit. Je ramène lentement afin de passer sous quelques centimètres de la surface. Lourde touche. Cette fois le ferrage est efficace et c’est un beau diable qui se défend ! Quel pied ! Le blanc de mon Hearty-rise est bien plié ! Je tiens enfin un brochet maillé ! Il me fait plusieurs départs avant que je ne puisse le voir. Mon Daiwa gère chacune de ses sautes d’humeur en lui laissant du fil. Je peux alors voir mon plus beau poisson de la saison. Il y a trop de longues herbes et je ne pourrais l’échouer à cet endroit. Je marche pour rejoindre une berge plus propice. Le grand carnassier est récalcitrant et je ne peux avancer qu’à son rythme. Il en profite pour tenter de passer sous la végétationrivulaires. Ma longue canne me permet de le contrer facilement. Je progresse lentement vers la berge dégagée. Il tente une chandelle, bouche ouverte pour se décrocher. J’ai pu vérifier que le triple était bien accroché, je peux alors savourer ce beau spectacle ! Me voilà près de l’eau. Victoire !

Je sort mon téléphone, vérifie que le retardateur est réglé sur dix secondes, place mon sac sur la berge, y place la plus grande boite et installe l’appareil photo dessus.

Je tente de glisser mes deux plus longs doigts sous ses ouïes, sans nous blesser, place mon combo sur mes épaules, avance le grand poisson entre nous deux et laisse éclater mon sourire !

22 01 03 Bouzat (4)r

Adieu ma belle !

Je suis enchanté, je fini la journée en beauté.

Je range tout mon bazar et rentre, heureux, l’année commence bien ! …

 

Lors de ma deuxième demie journée hebdomadaire de libre, je retourne sur une autre petite rivière du marais. J’ai pris pour habitude de ne pas matraquer trop souvent les poissons et de ne pas pêcher un parcours plus d’une fois par semaine. Cela me permet de cette façon, de bien connaître plusieurs parcours.

Cette matinée est ensoleillée mais le froid est plus vif. La température n’est plus que de deux degrés. Après avoir mis une deuxième paire de chaussette, j’enfile mes cuissardes. Je met mon tour de coup qui protégera mes cervicales et mon grand manteau. Je termine par mon bonnet de laine et mes mitaines.

Le jour se lève à peine quand je rejoins le bord de l’eau. Je commence avec mon traditionnel Rapala articulé de onze centimètres qui évolue si bien dans cette petite rivière, large de quelques mètres et peu profonde. Il n’intéressera personne. Je rejoins la voiture en réfléchissant. Ils ne sont donc pas joueurs ce matin. Il me faut changer pour quelque chose de plus agressif. Je fixe un spinnerbait flashy. Je fais quelques kilomètres pour rejoindre le pont plus en amont.

Mon leurre s’est emmêlé en touchant la voûte. Je relance mais rien sous le pont.

Je lance au dessus. Cet amorti dans le virage est un beau poste mais je n’y ai encore rien pris. Un beau poisson doit y régner en maître. …

Je progresse vers l’amont en cherchant un poisson actif. Je lance vers la rive opposée en contrôlant la dépose du leurre, au plus loin et au plus près de la berge. J’avance en ramenant, canne haute de façon à ce que mon leurre passe dans la veine centrale le plus longtemps possible. Depuis ces années, je me suis aperçu que c’est là que se tenaient les plus beaux poissons.

Rien sur le bas du pré. J’arrive au niveau de la haie où quelques grands arbres ont pu perdre des branches. Ces dernières peuvent alors faire un poste dans ce morne linéaire.

Je lance en prenant garde de ne pas envoyer mon leurre dans leurs branches. Je mouline, bingo ! J’appuie le ferrage, c’est un poisson correct. Ces coups de têtes lourds sont sans équivoques. Je le laisse se fatiguer en tentant de le faire monter vers la surface pour confirmer mes premières impressions. C’est bien un poisson de plus de soixante. Je dois encore patienter pour l’amener et vérifier qu’un des gros hameçons simples sont bien piqués.

C’est le cas et je peux me relaxer en profitant de ce moment tant attendu ! Lui aussi me ferra un belle chandelle ! J’adore ! …

Il se calme et je peux prendre plusieurs images.

Je fais un premier portrait avec le leurre coloré.

22 01 06 hames (4)

Dans cette eau laiteuse, sa robe est très claire. Je le laisse dans l’eau le temps de poser mon sac sur la berge, sortir le trépied pour faire un selfie.

Les herbes gelées et la lumière hivernale sont magnifiques.

Je peux arborer mon plus beau sourire !

22 01 06 hames (5)r

Adieu mon beau et merci pour ce grand plaisir !

Je n’aurai pas d’autre touche. …

Lors de la sortie suivante, je ne prendrai que deux brochets non maillés.

Là encore, après plusieurs essais de différent leurres, c’est le spinnerbait qui me sauvera de la bredouille.

22 01 08 Bouzats (3)

Lors de la sortie de la semaine suivante, les conditions météo sont similaires, à peine cinq degrés. Je fixe le spinnerbait qui m’a si bien réussi.

Il me faudra peigner des centaines de mètres, insister sur chaque poste correct pour trouver un brochet non létargique et enregistrer ma première touche.

C’est un poisson correct qui est presque maillé. Lui aussi sera piqué au bord des lèvres, sur le deuxième hameçon. J’adore la qualité des spinnerbait Sakura pour leur solidité, notamment à la boucle et la possibilité d’enfiler un deuxième hameçon simple dans la courbure du premier. Je dois à cet hameçon « chance » deux brochets sur trois !

Je fais une première image. ...

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Et puis je le relâche.

Les couleurs vives de mon leurre contrastent avec le temps gris et égaillent les images. …

Cette fois le vent est faible et ne gène pas les lancers.

Je me lave les mains et prend le temps de bien les sécher pour ne pas avoir froid.

Rien de plus sur le reste de ce parcours.

Je rejoins la voiture, fais deux kilomètres pour accéder à un autre point du parcours.

Je pêche les bons postes et la veine centrale.

Nouvelle touche, cela se défend mieux, celui là doit être maillé !

Ma longue Hearty Rise me permet de contrer chacun de ses départs. Au bout de quelques minutes, je peux l’amener et faire un selfie. …

22 01 10 Bouzat (4)r

Quel bonheur, deux brochets dont un beau ! Je suis enchanté !

Merci messire Esox pour ses moments de bonheur !

Il est seize heure, ce sera le dernier poisson de la sortie. Je n’aurais pas d’autre tape avant la nuit qui arrivera quelques dizaines de minute plus tard. …

La demie journée suivante sera encore plus froide. Le thermomètre de la voiture indique deux degrés. … En plus, il y a de la brume ! La route dans le matin qui se lève dévoile un paysage blanchi. …

Heureusement, le vent est faible. Je me couvre bien et rejoint la petite rivière. Rien sur le premier poste à la sortie du pont. Je ne réussirais pas à prendre celui qui m’aura fait une touche la semaine dernière. ...

Je commence par « ratisser » devant moi, en éventail. Rien sur la sortie du wateringue. J’allonge mes lancers pour aller tenter la berge d’en face où se trouve trois très grosses touffes d’herbe. Elles font des petit postes où les poissons peuvent se cacher. Rien dessous. J’oriente ma longue canne de façon à passer au milieu. Touche, je ferre ! Cela se défend correctement. Je profite de cette puissante monté d’adrénaline. C’est un poisson à peine maillé que je peux échouer. Ce beau diable aura subit de nombreuses attaques de héron. De belles marques sont visibles derrière la tête. Sa grande taille l’aura sauvé. …

22 01 13 Hames (3)

Je le laisse repartir après quelques photos.

Je n’aurais pas d’autre touche de la matinée. …

 

Il ferra beau le lundi suivant. Je décide retourner dans la petite rivière du marais où j’ai aperçu les beaux sandres de plus de soixante centimètres. Je fixe pour l’occasion un leurre souple de trois pouces. Rien aux abords du pont. Je poursuis vers le saule en skipant. Ces lancers à fleur d’eau me permettent d’envoyer mon leurre sous les branches rasantes. J’anime doucement. Arrêt, je ferre et c’est de-suite une lourde résistance.

Ma respiration s’arrête, espérant avoir touché le gros bec. Je tente alors de penser si j’avais refait mon bas de ligne. Je ne sent pas de coup de tête, j’ai du grappiner un poisson blanc. Effectivement, cela part en travers en ondulant jusqu’à surface. C’est une grosse brème. Je la ramène doucement.

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En la laissant dans l’eau, je décroche l’hameçon simple de sa nageoire dorsale et la laisse repartir.

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Je poursuis ma progression. Les foulques se cachent à mon approche. Je toucherai un autre blanc dont la tête plombée glissera sur le dos sans s’accrocher. Au ferrage, l’adrénaline montera en flèche !

Je tente contre un petit saule au raz de l’eau. Les moutons ont mangé le feuillage à leur porté. Il reste un petit poste sur lequel j’insiste. Malheureusement, à la deuxième tentative, j’y accrocherais. Mes essais de décrochage ne ferrons qu’enfoncer le fer de l’hameçon dans la fine branche. Je suis obligé de casser. Le saule plie mais ne rompt pas. …

J’en profite pour m’asseoir sur mon sac pour refaire mon bas de ligne. Cela me fait une pause pour mon dos, trop souvent penché en avant malgré mes attentions. …

Rien sur la suite du linéaire. Me voilà en vue de la jonction. C’est là que j’ai aperçu le grand percidé. J’insiste jusqu’à l’arrêt de mon leurre souple. Je ferre et là encore c’est de-suite lourd. Malheureusement, c’est à nouveau une grosse brème de cinquante cinq centimètres. ...

Rien de plus sur la fin de l’après-midi. Je profiterais du beau temps dans ce marais sauvage.

 

Ce beau temps ne sera pas de la sortie suivante. Il fera gris. Pour chercher mes grands sandres et espérer tenter le gros brochet, je monte un grand leurre souple de six pouces. Rien sous le grand saule. Je peigne le long linéaire en insistant sous chaque arbuste ou irrégularité jusqu’au petit saule sur lequel j’ai laissé mon petit leurre. Depuis plusieurs mètres en aval, je lance de façon à raser la rive. Touche au niveau des premières branches ! Je ferre amplement et j’ai de-suite de lourds coups de tête. C’est un très gros client ! Il remonte vers l’amont. Ma tresse de douze centièmes résiste. Le frein de mon Certate crisse confirmant son bon réglage ! Ma longue canne parvient à le déstabiliser. Il fait demi tour, je dois mouliner comme un fou pour conserver le contact. Il tente de retourner dans le bois du saule. Je bascule ma canne dans la direction opposée en mettant ma ligne à rude épreuve. Ma tresse de treize centièmes résiste et je parviens à l’amener. Il me faut maintenant choisir entre deux problèmes : je dois l’amener en surface pour qu’il s’y essouffle mais il va en profiter pour faire une chandelle et balancer sa tête de droite à gauche pour tenter de se libérer du fer de l’hameçon. Je baisse la canne au premier saut. Le gros hameçon simple tient bon. Il est bien ancré dans la mâchoire supérieure. Je peux alors profiter de cet instant et l’amener prêt de la bordure. Il en profite pour tenter de s’y réfugier. Il parviendra à arracher plusieurs herbes avant que je ne puisse l’attraper et savourer cette belle victoire !

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C’est un poisson magnifique à la belle robe claire !

J’enlève mon sac et le prépare pour faire un selfie. Je cherche un angle correct, plutôt plat et y pose mon trépied.

Il me faudra plusieurs tentatives pour faire un clicher acceptable. …

J’aurai même droit à une petite éclaircie qui illuminera les images.

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Voici l’une d’elle !

Je suis enchanté ! Adieux mon beau ! Et merci pour tant de bonheur ! …

Je remballe tout mon bazar et continue ma pêche.

Rien jusqu’à l’intersection. J’y insiste pour tenter les sandres. Touche au troisième lancer ! J’appuie le ferrage et peux rapidement sentir que ce n’est pas gros. Je ramène rapidement une grosse brème.

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Je la relâche et relance. Nouvelle touche au quatrième lancer ! Quel pied, cette fois, sans être très gros, c’est plus correct ! Je peux prendre puis laisser repartir mon deuxième brochet.

Quel bonheur !

22 01 24 bouzat (8)

Le bras de droite est moins profond. Mon gros leurre souple y est mal à l’aise. Je viens d’acheter une série de chatterbait. J’ai déjà pris plusieurs poissons, dont le plus beau brochet de la saison, je décide de faire une panoplie d’essais. Je noue le premier chatterbait de cinq grammes. Il se lance facilement avec ce vent faible de quinze kilomètres heure. Ma tresse est un peu grosse mais c’est un bonheur de sentir ses vibrations à chaque ramener ! Je quadrille en avançant lentement. Je prend régulièrement des perches sur ce bras. Touche, c’est nerveux et petit. J’espère une belle zébrée mais c’est un petit brochet. Je prend une rapide image avant de le laisser repartir. Et de trois !

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Quel pied ! C’est carton plein aujourd’hui ! …

Je change mon chatterbait pour un dix grammes. Celui-là part tout seul mais je racle le fond. …

Nouveau changement pour le sept grammes. Belle action qui lui aussi séduit un quatrième brochet !

C’est génial ! Je le met aussi dans ma bourriche numérique avant de lui rendre sa liberté. ...

Quelle journée ! Malgré les deux degrés ressentis, se sera ma meilleure journée de la saison !

Je rentrerai comblé ! ...

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Cette fois-ci, les plus beaux carnassiers ne seront pas de la partie. Je ne prendrais que trois petits brochets au spinnerbait équipé d’un leurre souple. Ces doubles palettes seront bien adaptées au temps plus gris et traverseront plus facilement les rafales jusqu’à cinquante cinq kilomètres par heure. Ce vent de sud-ouest, fera remonter la température jusqu’à neuf degrés mais pas la taille des prises. ...

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Je réussirai aussi ma fermeture carnassiers avec quatre brochets sortis. Le plus beau, pris au gros leurre souple me fera un départ canon en travers, en me sortant du fil du moulinet, me faisant penser à une carpe ferrée ! J’en prendrai deux sur le gros leurre souple dans les parties plus profondes et deux sur la grosse cuiller non plombée sur les parcours moins profonds et dans le sens du vent qui soufflera en rafale jusqu’à soixante cinq kilomètres par heure.

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Cette deuxième partie de saison (janvier) m’aura donc été plus favorable avec la prise de brochet quasiment à chaque sortie mais aussi de plusieurs beaux poissons !

22 01 10 Bouzat (2)

Au revoir mes beaux et rendez-vous l’année prochaine !

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